Pierre à laver. 6 août
PLOUGASTEL DAOULAS
Fontaine saint Pierre.
Il ne suffisait pas de plonger et de laver la partie malade. Il avait deux autres exigences au rituel . Tout d’abord, il fallait que l’opération ait lieu en cachette, sans témoin. Pour la seconde exigence, il ne fallait pas essuyer mais laisse sécher la verrue.Il existe une variante. On demandait au recteur de verser de l’eau de la fontaine dans un bénitier de l’église ( ou chapelle, suivant les uns) et c’est là que l’on plongeait la peau malade.
Elle alimente deux bassins, on y accède par une petite volée de marches.